«C'est moi qui prépare mon menu»
Octobre 2014 / Christoph Weder comprend maintenant parfaitement l'interaction entre alimentation et exercice. C'est de cette manière qu'il maîtrise à nouveau son poids sans renoncer au plaisir.
Christoph Weder l'avoue d'emblée : « Je suis un épicurien. » Il aimerait « les sucreries, et tout ce qui n'est pas bon, comme les chips, la glace, le vin rougeet les biscuits salés », dit-il.
Jusqu'à il y a quelques années, cela n'a posé aucun problème à cet homme de 42 ans qui vit à Diepoldsau, dans la vallée du Rhin St.Galloise. Le temps que ce juriste résolu pouvait consacrer au sport et à l'exercice avait disparu face à ses obligations professionnelles au sein de l'autorité de surveillance des marchés financiers. Les voyages à l'étranger et les repas d'affaires, que Christoph Weder sait apprécier, sont devenus de plus en plus fréquents, et son embonpoint a commencé à devenir visible.
Faire quelque chose pour son dos
La suite : cet homme d'1,80 m avait atteint 90 kilos. L'hernie discale dont il a alors souffert n'était pas en rapport direct avec ses kilos superflus. Son chiropracteur lui a cependant signaler « qu'il serait bon pour mon dos de perdre mes bourrelets et de bouger plus », se souvient Christoph Weder.
C'était l'événement déclencheur qui lui a permis de perdre enfin du poids. Mais il reconnaît aussi avec un clin d'œil que sa vanité était blessée quand il se voyait dans le miroir.
Interaction entre alimentation et exercice
Christoph Weder a d'abord essayé différents régimes, mais aucun n'a été une franche réussite. « Je ne voulais pas me nourrir de milk-shakes ni limiter fortement les aliments que je mangeais », explique-t-il. C'est à la suite de ces tentatives que le célèbre effet yoyo est apparu.
Il a fini par découvrir eBalance grâce à une annoncedans le Neue Zürcher Zeitung, et à l'aide du programme en ligne, il a atteint en quelques mois son poids souhaité de 78 kilos. « Avec eBalance, j'ai compris le rôle important de l'interaction entre l'alimentation et l'exercice pour le poids », dit Christian Weder. « J'ai remarqué que je n'avais pas besoin de transformer radicalement mon alimentation si je faisais assez de sport. »
Début de journée sur le hometrainer
Pour se remettre en forme, Christoph Weder a dépoussiéré son vieux hometrainer. Aujourd'hui, il passe 45 minutes sur l'appareil au moins trois fois par semaine, en commençant à 6 heures du matin. Pour ne pas s'ennuyerpendant ce temps, il regarde une série télé – actuellement, c'est la série des années 80 « L'homme qui tombe à pic » qui l'accompagne pendant qu'il se dépense.
Il a légèrement modifié ses menus avec eBalance : Avant, il avait toujours dans son bureau des barres chocolatées en cas de petit creux. « Aujourd'hui, j'ai renoncé aux sucreries pendant le travail. » Il en va de même pour les boissons sucrées telles que le Coca et le Fanta. Au bureau, il boit désormais de l'eau minérale, et à l'extérieur, des sodas light. Il limite sa consommation de chips et de cacahuètes lors des apéritifs, le midi, il choisit plutôt l'assiette santé ou un plat léger, et à la maison, ce sera par exemple poulet grillé ou steak avec légumes et salade, des pâtes avec une sauce légère ou d'autres repas asiatiques. Pour les repas d'affaires gastronomiques, où la politesse interdit presque de se limiter, Christoph Weder essaye de compenser les calories supplémentaires en faisant plus de sport.
Maîtriser ses menus
Christoph Weder s'autorise également quelques gâteries. S'il sort au restaurant avec sa femme, il termine le repas par une Dame blanche. Pendant ses vacances en Italie, il apprécie le bon vin, les antipasti et les desserts : « Je ne vais pas grimper sur la balance et y renoncer. »
Dans les jours et les semaines qui suivent son retour, il passe plus de temps sur son hometrainer et rétablit sont équilibre en saisissant les apports caloriques et les dépenses dans son app eBalance. « C'est ça qui est génial avec eBalance », explique-t-il : « Rien n'est imposé, on reste maître de ses menus et on peutcontinuer à se régaler. »
Andreas Weidmann, octobre 2014